Dans le premier cas, les allégations étaient que la femme enceinte est allé à l'hôpital souffrant de douleurs abdominales extrême conformément aux instructions de téléphone de l'obstétricien sur appel de l'hôpital. La femme a deux jours d'atteindre à terme. Une fois qu'elle est arrivée une infirmière lui connecté à un moniteur de rythme cardiaque fœtal mais lire la sortie incorrectement et donc a signalé que les tracés montrent un patron rassurant. La femme était alors préparé fro du travail et la livraison au point où une consultation résidente a demandé plusieurs fois. Lorsque le résident a enfin examiné la femme, le résident n'a pas demandé tout test afin de déterminer la raison pour laquelle la femme était telle douleur intense. Le résident ne s'est même pas lire les tracés à partir du moniteur. Donc l'obstétricien n'a été encore pas avisé de toutes les questions, tandis que le moniteur a continué à montrer des signes de détérioration de la souffrance fœtale. C'est près de deux heures avant l'obstétricien personnellement évalué la situation et effectué un profilé en c d'urgence. Durant le profilé en c l'obstétricien a confirmé que la cause de la douleur était un décollement placentaire. Le décollement placentaire causé le bébé à souffrir d'une perte d'oxygène pendant le délai de livraison du bébé. Cela a causé des dommages au cerveau et la paralysie cérébrale. Les parents a déposé une poursuite sur leur propre et au nom de l'enfant. Le cabinet d'avocats qui représentaient la famille a signalé que l'affaire réglée après la médiation. Le montant du règlement n'a pas été communiqué.
Dans le second cas, les allégations étaient qu'une femme enceinte, à terme, est allé à l'hôpital pour travail et de la livraison de son bébé. La femme a été examinée et ensuite suivie d'un résident qui est supervisé par un médecin se concentrant en médecine familiale. Le résident a conclu qu'il y a des signes qu'enfant à naître de la femme souffrait d'une souffrance fœtale et a informé le médecin superviseur de cette mais le médecin superviseur a rejeté les préoccupations des résidents sans en examinant la femme ou de la lecture de la sortie de l'écran du rythme cardiaque fœtal. Le résident a ensuite porté l'affaire à l'attention de l'obstétricien sur appel de l'hôpital. Tout comme le médecin de supervision, l'obstétricien sur appel ne s'est pas vérifier personnellement la femme et a pris aucune mesure. Pourtant, le moniteur gardé indiquant que l'enfant à naître est en détresse.
La femme a fini de souffrance un décollement placentaire. Même si cela se produisait, le résident n'a pas pu trouver le médecin superviseur ou l'obstétricien. Étant donné l'urgence de la situation, le résident s'avança avec un profilé en c d'urgence malgré le fait que l'hôpital n'a jamais autorisé le résident à faire un profilé en C. Malheureusement, à la privation d'oxygène par le décollement placentaire le bébé avait déjà subi des dommages considérables au cerveau. La famille a conservé un cabinet d'avocats qui documenté qu'ils étaient capables de parvenir à un règlement au nom de la famille pour un montant confidentiel qui comprenait un multimillionnaire vie régime de soins pour les besoins futurs de l'enfant.
Les résidents et les médecins supérieurs ne sont pas tous les mêmes. Dans les cas analysés ci-dessus, on trouve deux résidents chaque face à une complication similaire avec un patient enceinte. Un résident fait tout son possible pour aider le patient, allant même jusqu'à concurrence de réaliser un profilé en c sur son propre lorsque les médecins plus hauts ignoré ses préoccupations. L'autre résident ne fait rien pour établir la cause des plaintes du patient et ne lit pas même la sortie de l'écran du rythme cardiaque fœtal, retardant ainsi le profilé en C. Dans ce cas, l'obstétricien sur appel s'appuyait trop sur le résident et n'a pas vérifié sur le patient précédemment même si l'obstétricien était celui qui a suggéré à l'hôpital, elle rapportait. Cette obstétricien savait donc sur son symptôme mais n'a apparemment pas insisté les que le résident déterminer ce qui causait. Les deux cas révèlent une rupture dans le système avec des résultats tragiques. Les cas ci-dessus montrent également que lorsque quelque chose comme ça se passe qu'un procureur faute médicale pourrait être capable d'obtenir une reprise qui protège l'enfant du futur.
